Léon Frédéric ( Brussel 1856 - Schaarbeek 1940 )

FRÉDÉRIC, Léon (Baron) (Brussel, 1856-Schaarbeek, 1940) Schilder. Opleiding aan de Academie te Brussel o.l.v. J. Vankeirsbilck en F. Slingeneyer (1871-1878 en 1883-1886) en in het vrije atelier van J. Portaels. Verbleef in 1878 in Italië, samen met J. Dillens, en schilderde er vooral landschappen en stadsgezichten. Debuteerde in datzelfde jaar op de Salon te Brussel en werd in 1880 lid van de kring L’Essor. Werkte o.l.v. E. Wauters aan het Diorama van Caïro (1880). Realiseerde o.m. genretaferelen, allegorische en religieuze composities, figuren, portretten, landschappen. Ca. 1890 raakt hij in de ban van de idealistische kunst. In die periode verbleef hij vaak te Nafraiture in de Ardennen, een landelijke omgeving die hem inspireerde tot naturalistische doeken. Vanaf 1896 exposeerde hij op de Salon van idealistische kunst. Onder invloed van de prerafaëlieten schakelde hij ten slotte over naar het symbolisme. Werk o.m. in de musea te Antwerpen, Brussel, Elsene, Gent, Luik en Bergen. ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- FRÉDÉRIC, Léon (Baron) (Bruxelles, 1856-Schaerbeek/Bruxelles, 1940) Peintre. Il étudie à l’Académie de Bruxelles sous la direction de Vankeirsbilck et Slingeneyer (1871-1878 et 1883-1886) et dans l’atelier libre de Jean Portaels. En 1878, il séjourne en Italie avec Julien Dillens et y peint surtout des paysages et des vues de la ville. Cette même année, il fait ses débuts au Salon à Bruxelles. En 1880, il rejoint le cercle artistique L’Essor. Il travaille au diorama du Caire (1880) sous la direction d’Émile Wauters. Il réalise, entre autres, des scènes de genre, des compositions allégoriques et religieuses, des personnages, des portraits, des paysages. Vers 1890, il tombe sous le charme de l’art idéaliste. À cette époque, il séjourne souvent à Nafraiture en Ardenne, où le cadre bucolique lui inspire des toiles naturalistes. À partir de 1896, il expose au Salon de l’Art idéaliste. Sous l’influence des préraphaélites, il passe finalement au symbolisme. Ses oeuvres figurent, entre autres, dans les collections des musées d’Anvers, Bruxelles, Ixelles, Gand et Mons.

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